Amarelia

Où est l'arnaque?

Je vous offre de publier vos travaux universitaires sur Internet, pour un prix très peu élevé. Si j'étais à votre place, dès l'énoncé de cette proposition, je me demanderais où est l'arnaque. C'est en effet la question que toute personne sensée se pose quand on lui fait des promesses trop belles pour être vraies. L'argumentaire qui va suivre a donc essentiellement pour but de vous faire comprendre deux choses: d'une part, que ces tarifs sont modiques parce que le service proposé est expérimental; d'autre part, que je ne suis pas un escroc.


Sommaire

Parlons de moi...

  • Qui suis-je?
  • Où est mon intérêt dans cette affaire?
  • Que fais-je que les autres ne savent pas faire?
  • Que font les autres que je ne sais pas faire?
  • Quel est mon numéro de téléphone? Quelle est mon adresse postale?
  • La publication de vos travaux

  • Pourquoi publier vos travaux universitaires sur le Web?
  • Le succès planétaire sera-t-il au rendez-vous?
  • Pourquoi confier le travail de publication à un sous-traitant? Ne peut-on pas le réaliser soi-même?
  • Le site sera-t-il disponible 24 heures sur 24, sur n'importe quel ordinateur connecté, sans aucun problème?
  • Puis-je vous garantir qu'on ne violera pas vos droits d'auteur?
  • Parlons gros sous

  • Combien ça coûte?
  • Peut-on me croire quand je promets des tarifs modiques?
  • Que puis-je offrir à des universitaires absolument désargentés?
  • Vous ferai-je une facture?
  • Nos raisons de ne pas tomber d'accord

  • Accepterai-je de publier n'importe quoi?
  • Quels sont les domaines universitaires sur lesquels je peux revendiquer une certaine compétence?
  • Pourquoi traduire en anglais? Et la défense de la langue française?
  • Devient-on prisonnier de son sous-traitant? Que faire si nous nous fâchons?
  • Questions techniques

  • Combien de temps la réalisation d'un site Web prend-elle?
  • Puis-je assurer la saisie des 250 pages de votre thèse?
  • Est-ce que je travaille sur toute la France?
  • Ai-je des moyens techniques particuliers?
  • Divers

  • Y aura-t-il de la publicité sur les pages publiées?
  • Est-ce qu'une page Web peut aider à trouver un emploi?
  • Puis-je vous procurer les services d'un graphiste?
  • Suis-je patronné par une université, un ministère?
  • En conclusion

  • Où peut-on voir des exemples de ce que je sais faire?
  • Comment faut-il s'y prendre pour travailler avec moi?

  • Qui suis-je?

    Carte de presse

    .

    J'ai deux
    spécialités
    professionnelles:
    la presse
    informatique et
    le secrétariat
    de rédaction.

    Mon nom est Jean-Luc Ancey. Je suis sorti brillamment diplômé du Centre de formation des journalistes (rue du Louvre, à Paris) en 1985, et je suis titulaire de la carte de presse n° 57833 depuis 1986. J'ai deux spécialités professionnelles: la presse informatique (je suis aussi programmeur) et ce qu'on appelle dans le jargon du métier le secrétariat de rédaction.

    Un secrétaire de rédaction est un journaliste spécialisé dans les tâches de préparation de copie et de mise en forme du journal. Il ne va pas lui-même à la pêche aux informations, mais travaille à la mise en forme et en valeur des enquêtes d'autres journalistes (les seuls que le langage courant appelle des journalistes, mais que l'on devrait en toute rigueur appeler des enquêteurs). En somme, le secrétaire de rédaction transforme la copie brute en pages de journal (en rédigeant en particulier les titres et les légendes qui accompagnent tout article), et il est dans la presse écrite l'équivalent de ce que le présentateur est pour le journal télévisé (j'ai tendance à penser que je mérite plus ma carte de presse que PPDA, mais c'est un autre débat).

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    .
    Je préfère
    gagner des
    clopinettes
    en diffusant
    de l'information
    que devenir
    très riche
    en emballant
    la publicité.

    Où est mon intérêt dans cette affaire?

    C'est sans doute difficile à croire de nos jours, mais il existait encore il n'y a pas si longtemps des gens qui choisissaient leur métier non pas pour le profit financier qu'ils escomptaient en tirer, mais pour l'épanouissement personnel qu'il espéraient y trouver. De telles personnes sont bien entendu d'une naïveté affligeante, mais que voulez-vous, j'étais d'une naïveté affligeante quand j'ai choisi la carrière de journaliste: je croyais qu'il existait des patrons de presse disposés à offrir des moyens d'existence à de doux idéalistes dans mon genre, et dont le rêve était d'aider l'humanité à améliorer sa connaissance du monde. J'étais sans doute particulièrement stupide de croire une chose pareille, mais je la croyais quand même.

    C'était en 1983, il y a une éternité. Depuis, mon irréalisme ayant tout de même des limites, je me suis rendu compte que le but d'un patron de presse n'est évidemment pas d'informer le public, mais seulement de faire de l'argent en vendant du papier à des lecteurs et de l'espace publicitaire à des annonceurs. Je l'ai compris, j'ai appris à faire avec, et cela m'a permis d'obtenir comme simple journaliste pigiste des émoluments très supérieurs à mes prévisions les plus optimistes (mes finances vont bien, merci pour elles). Seulement voilà: je continue de penser qu'il me serait plus agréable de gagner des clopinettes en diffusant de l'information (ce qu'aucun patron de presse ne m'a jamais offert) que de devenir très riche en emballant la publicité avec des âneries (ce en quoi mon métier consiste trop souvent).

    Ce que je vous offre ici n'est pas gratuit, mais seulement sans but lucratif, ce qui n'est pas si mal. L'intérêt que j'ai à le faire est intellectuel et non financier. J'ai envie de diffuser des travaux universitaires plutôt que des chiens écrasés parce que ces travaux contiennent une chose dont les patrons de presse, mes seigneurs et maîtres, se contrefichent depuis une éternité: de l'information.

    Le service proposé ici l'est à titre expérimental: en clair, si je me rends compte - ainsi qu'il est probable - que c'est plus un moyen de manger ses économies que de les faire durer, je laisserai tomber. Mais dans l'immédiat, j'ai des économies, et je me moque de la rentabilité comme de mon premier feuillet dactylographié. J'en suis à étudier le marché, avec des tarifs délibérément trop bas, presque symboliques. Disons que je fais cela avec une mentalité de médecin de famille: sans esprit de lucre, simplement parce que je pense que ça peut être utile.

    Le bon côté pour vous, c'est que c'est très peu cher. Le mauvais côté (oui, il y en a un) c'est que vous ne pourrez pas être exigeant avec moi comme vous le seriez avec un fournisseur - ou comme les patrons de presse qui me paient grassement le sont le plus souvent (je n'aime pas beaucoup les patrons de presse, l'avez-vous remarqué?).

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    .
    Mon savoir-faire
    de programmeur
    me permet
    de résoudre
    avec une relative
    facilité
    les problèmes
    de conversion
    de données.

    Que fais-je que les autres ne savent pas faire?

    En tout premier lieu, je sais travailler pour d'autres raisons que l'appât du gain. Mais à côté de cet argument qui m'est vraiment particulier, je peux en invoquer quelques autres:

  • J'ai des aptitudes particulières pour la réalisation d'un tel projet: mes connaissances informatiques sont très supérieures à la moyenne, puisque j'écris des programmes informatiques depuis quatorze ans. C'est d'ailleurs la raison pour laquelle j'ai collaboré à divers journaux informatiques, notamment Soft & Micro, SVM, Windows Plus et 01 Informatique. Cela m'a permis de manipuler les logiciels les plus divers. En outre, la grande pratique que j'ai acquise pour la lecture du code informatique m'a permis de me mettre très tôt à l'écriture de pages Web: j'ai réalisé mon premier site dès 1996.

  • .
  • Je peux faire assurer la traduction de vos pages en anglais; en outre, s'il s'agit de la traduction de pages déjà mises en forme pour le Web dans leur version française, je peux reprendre la mise en forme à l'identique, sans supplément de prix.

  • .
  • Si les documents que vous voulez publier existent déjà sous une forme informatisée quelconque (document d'un traitement de texte ou d'un tableur, base de données, pour ne citer que des exemples courants), je me fais fort d'assurer leur adaptation pour le Web de façon partiellement ou totalement automatisée, ce qui vous prémunit contre les erreurs de saisie. La raison pour laquelle je vous assure en être capable, c'est tout simplement qu'il s'agit d'une spécialisation professionnelle que j'ai acquise au fil des ans en travaillant dans la presse technique, et pour laquelle des patrons de presse me paient à longueur d'année. Par exemple, il y a des années que j'assure pour l'Argus de l'automobile des travaux de conversion de leurs énormes bases de données statistiques en pages de journal.
  • D'une manière générale, mon savoir-faire de programmeur me permet de résoudre avec une relative facilité des problèmes informatiques réputés très complexes, comme par exemple la mise en page automatique, la conversion de données, le repérage d'erreurs dans de longues séries de données chiffrées.

    Enfin, même s'il est peu probable que vous en ayez l'usage, je suis particulièrement qualifié pour la représentation en trois dimensions de données chiffrées.

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    Je ne me suis
    jamais donné
    la peine
    d'apprendre
    à réaliser
    les effets
    graphiques
    qui ne servent
    qu'à créer
    des problèmes
    techniques.

    Que font les autres que je ne sais pas faire?

    Du fait de mon profil journalistique et de mon savoir-faire de programmeur, j'ai la faiblesse de me croire réellement beaucoup plus qualifié que la plupart des prétendus spécialistes du multimédia. Cela dit, je n'ai quand même pas la science infuse. D'une manière générale, je ne me suis jamais donné la peine d'apprendre à réaliser certains effets graphiques qui ne me paraissent servir qu'à créer des problèmes techniques (exigence de la dernière version de tel plug-in, par exemple). Je n'ai aucune envie de me fatiguer à réaliser des effets sonores ou vidéo, ni même des animations en Shockwave, car je sais qu'en pratique, cela crée beaucoup plus de problèmes techniques que cela n'apporte d'améliorations esthétiques.

    Pour ceux qui ont des compétences techniques pointues, je signale aussi que je ne possède pas la licence d'Adobe Acrobat, ce qui m'interdit a priori la publication de documents au format PDF. Mais ce format est assez peu usité hors de la presse professionnelle, et je ne serais pas étonné que vous n'en ayez jamais entendu parler.

    Il me faut aussi faire mention d'une fonction importante que des professionnels sont susceptibles de vous offrir, et que pour ma part je ne domine pas: il s'agit des effets supposant un traitement informatique en temps réel sur le serveur (en particulier pour le traitement d'une requête sur une base de données). Je ne vous offre pas ce type de services avant tout parce que cela supposerait que je sois habilité à lancer des traitements sur le serveur qui héberge vos données... ce qui en pratique n'est jamais admis que pour le propriétaire de ce serveur. Pour le moment, je ne suis pas propriétaire d'une machine connectée au réseau en permanence. Cela dit, j'y réfléchis et j'y travaille. Reposez-moi la question dans deux mois!

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    Quel est mon numéro de téléphone? Quelle est mon adresse postale?

    Mon téléphone est le 01.30.41.03.12. Mon adresse postale est: Jean-Luc Ancey, 2, place Raimu, 78120 Rambouillet. Mais puisque vous lisez ceci sur Internet, vous pouvez aussi bien m'envoyer un courrier électronique, à jlancey@rocketmail.com.

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    L'idéologie
    tacite
    d'Internet
    est que tout
    savoir humain
    doit être mis
    gratuitement
    à disposition
    de la planète.

    Pourquoi publier vos travaux universitaires sur le Web?

    D'abord pour éviter le gâchis: vos travaux représentent vraisemblablement des mois et des années de recherches, et je parierais que comme la plupart des ouvrages universitaires ils n'ont plus servi depuis des mois qu'à prendre la poussière.

    Bien entendu, les travaux universitaires qui peuvent susciter l'intérêt de la grande foule ne sont pas légion. Mais il existe nécessairement, en France ou ailleurs sur la planète, des chercheurs, des érudits ou même de simples curieux qui pourraient s'y intéresser, ne serait-ce que pour y trouver une ou deux références. Peut-être ces chercheurs ne sont-ils pas très nombreux, mais ils sont en revanche assez curieux de votre domaine pour fouiller tout Internet en quête de ce qui s'y rapporte. Si vos travaux étaient publiés sur le Net, il y aurait des gens pour les lire, je vous le garantis; peut-être pas des milliers, mais très vraisemblablement des dizaines. Ces happy few ont besoin de vous...

    La seconde raison pour que vous publiiez vos travaux, c'est tout simplement que personne ne peut le faire à votre place: les règles de la propriété intellectuelle interdisent à quiconque de publier ce matériel dont vous êtes l'auteur. C'est donc bien à vous, à vous et à personne d'autre, de faire connaître le résultat de vos recherches.

    La troisième raison de publier sur le Web, c'est que ça ne coûte presque rien. Même limité à deux cents exemplaires, un tirage sur papier demande un financement, donc une interrogation sur sa rentabilité. Rien de tel sur le Web.

    La quatrième raison, c'est que le Web vous permet de toucher un public très éloigné de vous géographiquement: ce que vous mettez en ligne à Paris peut, immédiatement et sans frais, être lu à Oslo, à Singapour et à Bratislava.

    Tout cela vous offre la possibilité de nouer des contacts avec des universitaires intéressés par votre domaine de recherches, même si celui-ci est trop pointu pour intéresser d'autres personnes que des spécialistes, et même si ces personnes habitent d'autres pays ou d'autres continents. Aujourd'hui, avec le Web, vous pouvez en quelques semaines contacter le public qui n'aurait naguère pu être réuni que grâce à l'organisation d'un congrès national ou international.

    Bien qu'un tel objectif n'ait rien d'irréaliste, on peut aussi utiliser le Web pour coordonner les efforts d'une équipe de dimension plus modeste, et dont tous les membres se connaissent déjà: par exemple, un professeur et ses étudiants peuvent se diviser le travail de publication de recherches qu'ils effectuent en commun, et chacun peut faire connaître l'état d'avancement de ses travaux à toute l'équipe, sans qu'il soit systématiquement nécessaire de réunir tous les participants au même moment dans un même lieu.

    Tout cela est vrai, mais peut-être, au fond, d'importance marginale. La raison essentielle pour publier sur le Web, du moins à mon avis, c'est qu'Internet offre enfin à l'humanité les moyens techniques d'un accès universel et gratuit au savoir. L'idéologie tacite d'Internet est donc que tout savoir humain doit être mis gratuitement à disposition de la planète, la rétribution de chaque auteur étant seulement qu'il pourra lui-même profiter des recherches des autres. Voilà qui est totalement aux antipodes du système économique actuel. C'est pour ça que ça me plaît...

    Pour être tout à fait exhaustif, on peut citer une dernière raison de réaliser la publication des textes universitaires sur le Web. C'est tout simplement que, de nos jours, la plupart de ces textes sont rédigés sur ordinateur. Ils existent donc déjà sous forme numérique, de sorte que leur adaptation au Web pose très peu de problèmes techniques a priori. C'est simple et peu coûteux; pourquoi s'en priver?

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    Le succès planétaire sera-t-il au rendez-vous?

    Vous pouvez toujours l'espérer, ce ne serait pas la première fois que l'on verrait un parfait inconnu devenir célèbre grâce au Web, mais c'est quand même extrêmement peu probable. En revanche, vous pouvez très sérieusement espérer être connu de quelques dizaines de personnes, toutes spécialisées dans votre domaine de recherches, et réparties sur toute la planète. Ça n'a d'ailleurs rien de miraculeux. Il existe en effet deux méthodes éprouvées permettant à des personnes réunies par un même centre d'intérêts de se retrouver sur le Web: les forums de discussion (newsgroups), et les anneaux (webrings). Je vous apprendrai comment on tire tout le parti de ces deux méthodes.

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    L'élaboration
    d'une page Web
    est un travail
    long, minutieux
    et, avouons-le,
    pas très
    intéressant.

    Pourquoi confier le travail de publication à un sous-traitant? Ne peut-on pas le réaliser soi-même?

    Dans la pratique, très peu de personnes se posent la question, elles sont au contraire effrayées par la complexité technique d'une publication sur le Web. C'est bien dommage, car ces difficultés techniques n'ont rien d'insurmontable. Pour ma part, même si vous décidez de vous en remettre entièrement à moi pour la publication de vos travaux, j'essaierai de vous faire comprendre comment je m'y prends. Il me paraît bon que vous sachiez corriger une erreur ou effectuer un ajout vous-même, même si vous ne le faites que très exceptionnellement, lorsque vous ne pouvez pas me joindre aussi vite que cela vous paraît souhaitable.

    Publier des pages Web n'est pas très difficile. Cela dit, et quoi que prétendent les argumentaires publicitaires de certains logiciels censés vous y aider, ce n'est quand même pas d'une simplicité enfantine, surtout quand les documents que vous publiez deviennent abondants ou complexes.

    Même pour qui maîtrise totalement les questions techniques et en particulier l'écriture du code HTML, l'élaboration d'une page Web est un travail long, minutieux et, avouons-le, pas très intéressant par lui-même pour qui n'est pas passionné par le code informatique. Vous pouvez donc m'employer, tout simplement, pour réaliser à votre place des tâches informatiques qui vous ennuient.

    Par ailleurs, je ne suis pas seulement un technicien du Web; je suis aussi un journaliste, qui maîtrise des techniques d'amélioration de la lisibilité généralement mal connues des universitaires: les classiques, comme les chapeaux, accroches, intertitres, relances, encadrés, légendes; et les modernes, qui ont été conçues sur le Web et pour lui, comme les liens hypertextes, les sommaires cliquables, les images animées, etc.

    Accessoirement, je possède aussi une bonne maîtrise de l'orthographe... L'expérience m'a démontré que ce savoir se faisait fort rare.

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    Le site sera-t-il disponible 24 heures sur 24, sur n'importe quel ordinateur connecté, sans aucun problème?

    C'est bien sûr le but de la manoeuvre, mais en l'état actuel de la technique il serait mensonger de prétendre qu'on ne rencontre jamais la moindre difficulté. A dire vrai, le problème dépend moins de moi que du prestataire de services qui hébergera vos pages. Ce que je peux vous garantir, en revanche, c'est que la plupart des sites professionnels posent des problèmes techniques dont on se prémunit très facilement en prenant comme moi le parti d'éviter les complications inutiles (plug-ins, frames, cookies, usage de Javascript à tort et à travers...).

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    La publication
    sur le Web
    ne fait pas
    disparaître
    vos droits
    moraux sur
    votre oeuvre.

    Puis-je vous garantir qu'on ne violera pas vos droits d'auteur?

    Ah, ça non; absolument pas. Il est contradictoire de vouloir mettre des documents électroniques à disposition de la planète entière, et de souhaiter dans le même temps empêcher que ces documents puissent être copiés (un peu de la même façon, il est impossible de publier un livre sans prendre le risque qu'il soit photocopié). Si vous voulez à la fois faire connaître vos travaux et empêcher qu'ils soient copiés, vous n'avez guère d'autre solution que de publier des données partielles (seulement le plan de l'ouvrage, par exemple), voire volontairement truffées de contre-vérités (mais le journaliste que je suis s'y opposera!). Mieux vaut se résigner au piratage, en se disant qu'une thèse plagiée est infiniment plus utile que si elle reste inexploitée et oubliée.

    Cela étant, la publication sur le Web ne fait pas disparaître vos droits d'auteur, et il vous sera toujours possible d'attaquer d'éventuels plagiaires devant les tribunaux.

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    Il est fort
    possible que
    la conversion
    de votre thèse
    en page Web
    ne vous coûte
    pas plus
    de 500 F.

    Combien ça coûte?

    Tout cela ne vous coûtera pas cher, pour tout un ensemble de raisons. Pour vous donner tout de suite un ordre d'idées, supposons que vous vouliez seulement, dans un premier temps, publier les 80 pages d'une monographie déjà rédigée sur ordinateur et ne comportant que du texte banal, avec pour seules difficultés typographiques des titres de chapitres et de sections en gras, des citations en italique, des notes de bas de page et une bibliographie; pas d'images, pas de tableaux. Eh bien, l'adaptation d'un tel texte pour le Web ne demandant que quelques heures de travail, je pense que j'accepterais de l'effectuer pour environ 500 F. Pour des travaux plus complexes ou plus longs, je vous indiquerai un tarif établi au pifomètre et à la tête du client, mais qui cherchera en gros à rétribuer 85 F une heure de mon travail. Si vous trouvez que c'est trop cher, sachez que je gagne nettement mieux ma vie dans la presse pour des tâches d'ailleurs moins complexes. Et demandez-vous donc combien un plombier ou un couvreur vous demanderaient pour un travail à mon avis moins qualifié.

    Vous voyez, ce n'est pas du tout hors de portée de votre budget. Même des publications très abondantes peuvent être assurées avec un budget de quelques milliers de francs, tant que leur structure reste simple.

    Pour diminuer encore les coûts, vous pouvez prendre vous-même en charge une part du travail informatique. Vous m'emploierez alors non pas pour faire le travail, mais pour vous apprendre à le faire. Dans ce cas, j'ai des tarifs assez similaires à ceux que pratiquent tous ceux qui vendent des cours à domicile, et qui tournent autour de 100 F de l'heure. A mon avis, à moins que vous ne soyez absolument rebuté par l'informatique, vous pouvez avoir appris comment résoudre l'essentiel des problèmes de préparation et de transmission de copie en moins d'une demi-douzaine d'heures - à la condition de les espacer suffisamment pour que vous puissiez vous entraîner entre-temps. Le cas échéant, vous pourrez toujours me rappeler pour résoudre un problème technique particulier.

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    La grande force
    des sites Web
    universitaires,
    c'est qu'ils ont
    quelque chose
    à dire et rien
    à vendre.

    Peut-on me croire quand je promets des tarifs modiques?

    Ce n'est pas seulement par bonté d'âme que j'offre des prix assez bas pour la publication de textes universitaires. Il y a des raisons objectives pour que ça coûte beaucoup moins cher qu'un site commercial:

  • On part le plus souvent de documents déjà informatisés (hypothèse la plus courante: un texte au format de Microsoft Word), qu'il suffit de convertir et de retravailler légèrement. Ces problèmes étant très courants (j'y suis confronté tous les jours quand je travaille dans un journal), je connais toutes les astuces pour les résoudre. En outre, je les résouds souvent comme le programmeur que je suis, c'est-à-dire en écrivant avec un langage de programmation des moulinettes de conversion, ou plutôt en adaptant des moulinettes que j'ai déjà mises au point pour exercer mon métier. Ça m'est donc beaucoup plus facile que pour quelqu'un qui ne sait travailler qu'au clavier et à la souris.

  • .
  • Les habitudes universitaires font que les thèses et mémoires ont déjà, le plus souvent, une structure logique sur laquelle on va pouvoir se fonder pour construire la structure informatique. Au contraire, les sociétés spécialisées dans le multimédia, malgré leurs tarifs élevés, ont beaucoup de mal à satisfaire les exigences de marketing fumeuses de leurs clients: ces derniers, selon l'expression désormais consacrée, "ne savent pas ce qu'ils veulent, mais seulement pour quand ils le veulent."

  • .
  • Comme les universitaires ont de l'information à diffuser et rien à vendre, le fond (qui est déjà prêt) compte plus que la forme (qui peut se contenter d'adapter des solutions standard: la plupart des textes universitaires ont peu ou prou la même structure). Il n'y a pas besoin de consacrer d'énormes efforts à une quête effrenée d'originalité de présentation. Donc, on n'a pas non plus besoin de payer une armée de graphistes et de "concepteurs multimédia" (qui sont de toute façon assez souvent des charlatans). Cela dit, il est très facile de donner à des pages Web un aspect personnalisé et facilement reconnaissable (le moyen le plus simple étant de jouer sur les couleurs d'affichage).
  • Enfin, excusez-moi si je me répète, mais la principale raison pour laquelle je ne suis pas cher, c'est que je ne cherche pas à m'enrichir sur votre dos.

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    .
    Ce ne serait pas
    la première fois
    que je rendrais
    des services
    informatiques
    à des gens
    que je ne
    connais
    ni d'Eve
    ni d'Adam.

    Que puis-je offrir à des universitaires absolument désargentés?

    Eh bien, même si vous n'avez pas un fifrelin, parlez-moi quand même de votre projet. S'il m'intéresse et si vous m'êtes sympathique, il n'est pas totalement exclu que j'accepte de vous donner un coup de main pour rien. Ce ne serait vraiment pas la première fois que je rendrais des services informatiques à des gens que je ne connais ni d'Eve ni d'Adam: il y a des années que tous mes copains m'envoient leurs collègues, beaux-frères, voisins de palier, dès que leur ordinateur leur fait des misères. Non seulement je n'ai jamais demandé à ces amis d'amis de me payer, mais je l'ai toujours refusé quand ils me l'ont offert. Donc, appelez-moi toujours: celui de nous deux qui risque le plus de se faire avoir, c'est moi. Je me laisserai encore plus facilement convaincre si vous pouvez me mettre en contact avec un autre client (votre père, votre prof, le neveu par alliance de la fiancée de l'oncle de votre garagiste) qui, lui, accepterait de me payer pour un travail similaire...

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    Vous ferai-je une facture?

    Bonne question, et je vous avoue qu'elle m'embarrasse un peu. Je n'ai nullement l'intention de faire des cachotteries au fisc - et d'autant moins que j'escompte en tout état de cause des gains si minimes que je doute qu'ils soient imposables! Mais je suis pour le moment dans une phase expérimentale, et je travaille encore sans aucune structure commerciale. Je réfléchis à diverses solutions (la plus simple semble être celle du recours à une société de portage, mais elle me contraindrait à augmenter mes tarifs). En tout état de cause, je vous signerai des reçus pour toutes les sommes que vous me verserez.

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    Comme tout
    journaliste,
    je peux
    invoquer
    la clause
    de consience
    pour refuser
    de publier
    des textes
    que je
    désapprouve.

    Accepterai-je de publier n'importe quoi?

    Excellente question. Eh bien, j'en suis navré, mais la réponse est non, non, non et cent fois non. La principale raison en est que ce projet, même s'il n'est pas gratuit, est beaucoup plus proche du bénévolat que d'un projet commercial. En clair, si ce que vous me demandez de publier me déplaît pour une raison qui ne regarde que moi, je suis susceptible de refuser d'emblée de collaborer avec vous. En revanche, une fois que j'aurai accepté de vous aider, je ne vous abandonnerai pas au milieu du gué, sauf pour les motifs valides au regard du droit des contrats - modification unilatérale des termes de l'accord et défaut de paiement, en particulier.

    N'oubliez pas que ceci est de mon point de vue un projet journalistique. Je suis donc susceptible, comme tout journaliste, d'invoquer la clause de consience pour refuser d'aider à publier des textes que je désapprouve.

    Et quels sont les textes que je désapprouve? Eh bien, j'ai très peu de tendresse pour certaines opinions (notamment quand elles sont très marquées à droite, mais pas seulement); si vous voulez publier des thèses révisionnistes, ne perdez pas votre temps à m'en parler: il n'en est pas question. Par ailleurs, je veillerai à faire respecter les interdictions de la diffamation, de l'apologie du crime et de l'incitation à la haine raciale. En bon journaliste, j'y ajoute un refus catégorique de diffuser de fausses informations, ou des informations non vérifiées dont la source n'est pas indiquée (d'ailleurs un travail universitaire qui n'indique pas ses sources ne mérite guère d'être considéré comme tel). Je mentionnerai au passage que la protection des mineurs est au nombre de mes soucis, même si je serais assez étonné d'avoir à l'invoquer au sujet d'un texte universitaire.

    Enfin, last but not least, il ne faut pas faire appel à moi pour diffuser quoi que ce soit en violation des règles de la propriété intellectuelle (sauf, bien sûr, de courts extraits employés à titre de citation). Je suis là pour vous aider à diffuser le matériel dont vous êtes l'auteur, point final. Si je me refuse à enfreindre le copyright, ce n'est d'ailleurs pas par intégrisme juridique, mais tout simplement pour vous éviter des ennuis.

    D'une manière générale, encore une fois, je me réserve le droit de refuser de m'engager sur n'importe quelle collaboration pour des raisons qui me regardent et que je me croirai pas tenu de vous expliquer. Cela risque d'être le cas si vous me paraissez antipathique, ou désordonné (ce qui est souvent pire dans des relations de travail); également, pourquoi le nier, si vos travaux m'ennuient démesurément. Cela dit, je vous rassure: il est très rare que des travaux universitaires de bonne qualité m'ennuient. En revanche, si vous me demandez de publier du matériel n'ayant rien à voir avec des travaux universitaires (les horaires de votre club de tennis, par exemple), ne vous étonnez pas si je vous envoie paître.

    Voilà pour les raisons de fond. Maintenant, il n'est pas non plus complètement exclu que je refuse de travailler avec vous si le matériel que vous publiez pose des difficultés techniques insondables (innombrables citations dans des alphabets exotiques, par exemple). Mais tel que je me connais, je suis susceptible de juger intéressant le travail que vous me proposerez précisément à cause de ces difficultés techniques...

    Enfin, je suis évidemment susceptible de refuser des demandes s'il m'apparaît que je ne pourrai pas trouver le temps de les satisfaire. Sait-on jamais? Peut-être ma façon de travailler et de facturer va-t-elle avoir beaucoup de succès.

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    Mon métier
    consiste à lire
    la copie
    avec les yeux
    du premier venu.

    Quels sont les domaines universitaires sur lesquels je peux revendiquer une certaine compétence?

    Si vous pensez que votre travail ne peut être confié qu'à quelqu'un qui dispose d'un certain niveau universitaire dans des matières voisines de celle qui vous occupe, alors cherchez votre bonheur dans ce qui suit.

    Je suis titulaire du diplôme d'une école de journalisme (le CFPJ; ce diplôme est généralement considéré comme équivalant à une maîtrise, en ce sens qu'il s'obtient au terme de quatre années d'études supérieures), mais aussi d'un bac A2 (mention bien) et d'un DEUG de droit.

    Je parle anglais et espagnol couramment, quechua très passablement, je suis un grand lecteur de romans italiens en version originale, et j'ai de très sérieuses notions d'allemand et de russe, voire de japonais; j'ai même quelques souvenirs de mes cours de latin et de grec antique.

    Par ailleurs, j'ai fait cinq ans de piano, ce qui m'a au moins appris à lire une partition, et j'ai chanté comme baryton dans une chorale pendant sept ans.

    Enfin, j'étudie la programmation (en C et C++ notamment) depuis quatorze ans, avec comme axe de recherche principal la 3D (d'où de sérieuses connaissances en matière de trigonométrie, mais aussi en ce qui concerne les courbes de Bézier et la génération de nombres pseudo-aléatoires).

    Bien que tout cela ne représente pas rien à mon sens, c'est pour une autre raison que je présume pouvoir vous être utile pour publier vos documents, quel que soit votre domaine de recherche. Cette raison, c'est tout simplement que l'un des aspects de mon métier (secrétaire de rédaction) consiste à lire la copie qu'on me confie avec les yeux du premier venu, précisément pour signaler aux spécialistes à quel moment ils deviennent incompréhensibles pour un profane. Sur le Web, vos travaux sont susceptibles d'être lus par le premier venu. Je vous conseillerai donc évidemment de ne pas réduire votre public en renonçant a priori à tout effort de lisibilité.

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    L'anglais est
    pratiquement
    indispensable
    pour faire
    connaître
    vos travaux
    hors de
    nos frontières.

    Pourquoi traduire en anglais? Et la défense de la langue française?

    D'abord, je dois vous signaler à ce sujet que la traduction à l'anglais n'est pas un service que j'assure moi-même (although my English is rather fluent). Conséquence notable: si vous avez recours à ce service, il ne vous sera pas facturé avec mes tarifs symboliques. Simplement, pour ce projet, je me suis associé de façon informelle avec un de mes anciens professeurs (elle enseignait le quechua à l'Institut des langues orientales, mais sa connaissance de l'anglais - ainsi d'ailleurs que de l'espagnol - est aussi des plus complètes): je l'aide à trouver des travaux de traduction qui lui permettent d'arrondir ses fins de mois, elle m'aide et elle vous aide en augmentant la probabilité que les pages Web dont nous nous occupons rencontrent un écho international, et tout le monde est content. Mais ça ne me rapporte pas un centime.

    En tout état de cause, la traduction à l'anglais de votre matériel n'est nullement une obligation. Vous pouvez bien sûr sans que je m'en offense le moins du monde décider de vous en passer (ou encore de la réaliser par vos propres moyens). Je suis cependant persuadé qu'il est pratiquement obligatoire de l'envisager si votre ambition est de faire connaître vos travaux hors de nos frontières. Je vous parlais plus haut de votre audience potentielle à Singapour, à Oslo ou à Bratislava. Eh bien, ne vous leurrez pas: ce n'est pas avec la langue française que vous pourrez toucher un public aussi vaste. Notez bien que la réalisation d'une traduction en anglais ne vous permettra pas seulement de toucher des internautes américains, mais aussi et même surtout des Européens: qu'ils soient scandinaves ou lusophones, la probabilité qu'ils comprennent l'anglais écrit est très élevée, tandis qu'un public francophone sera nécessairement beaucoup plus réduit.

    En tout état de cause, les publications anglophone et francophone ne s'excluent pas mutuellement, et il est tout à fait recommandé d'envisager des publications bilingues.

    Si vous êtes trop hostile à la langue anglaise (ou pas assez riche!) pour envisager une traduction complète, vous pouvez vous rabattre sur une solution intermédiaire, et ne publier en anglais qu'un résumé de vos pages francophones. Cela peut suffire à susciter l'intérêt des internautes les plus exotiques. A eux ensuite de faire l'effort de faire traduire vos pages.

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    Du fait que
    la rémunération
    que je demande
    est largement
    symbolique,
    pour moi
    le client
    n'est pas roi.

    Devient-on prisonnier de son sous-traitant? Que faire si nous nous fâchons?

    Les documents du Web ne peuvent utiliser que des formats informatiques à peu près standard (je dis "à peu près", car quand on est spécialiste de la question, on se rend vite compte qu'il existe en réalité d'innombrables variantes de ces standards prétendus). Cette relative standardisation vous offre l'assurance que toute personne ayant les connaissances minimales en matière de publication sur le Web pourra réexploiter le matériel que vous m'aurez déjà fait publier.

    Cette personne ayant des connaissances minimales peut parfaitement être... vous-même: mon but n'est assurément pas la rétention d'informations techniques, et je ne saurais au contraire trop vous recommander d'apprendre comment réaliser toutes les tâches que vous souhaitez me confier. En tout état de cause, à tout moment de mon travail, vous aurez accès à votre site et disposerez de la capacité technique de le modifier vous-même. Un moyen fort simple d'apprendre à le faire est de me demander de travailler sous vos yeux en vous expliquant ce que je fais.

    Mais si un tel apprentissage vous ennuie, vous pouvez vous contenter de savoir que je ne suis vraiment pas le seul expert en publication sur le Web de la place de Paris. En cas de besoin, vous n'aurez pas grand mal à trouver quelqu'un d'autre pour reprendre mon travail et l'enrichir (mais c'est probablement à ce moment-là que vous vous rendrez compte à quel point les tarifs que je vous demandais étaient sous-évalués).

    Par parenthèse, il est bel et bien possible que nous nous fâchions. Du fait que la rémunération que je demande est largement symbolique, pour moi le client n'est pas roi. Soyez d'emblée prévenu que je n'accepterai pas des choix techniques que je considère mauvais. Par exemple, je me refuse absolument à travailler avec des solutions logicielles dites "propriétaires", c'est-à-dire qui exigent la possession d'un programme du commerce précis, à l'exclusion de tout concurrent. Pour le dire plus brutalement, je me refuse à diffuser quelque document informatique que ce soit à un format qui ne serait lisible que par un logiciel Microsoft.

    Par ailleurs, en contrepartie du fait que je ne m'enrichirai pas sur votre dos, il pourra être nécessaire que j'interrompe de temps à autre notre collaboration pour consacrer quelque temps à une pige grassement rétribuée par un patron de presse. Car même si je n'aime pas les patrons de presse, je dois reconnaître à mon corps défendant que c'est toujours eux qui m'ont nourri jusqu'ici. Ça mérite bien que je leur accorde quelques égards...

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    Combien de temps la réalisation d'un site Web prend-elle?

    Ça peut être très rapide s'il ne s'agit que d'adapter au Web un texte déjà rédigé; dans ce cas, 24 heures suffisent amplement. Des mises à jour brèves peuvent même être effectuées en moins d'une demi-heure.

    Ça peut aussi n'être jamais terminé si vous êtes perfectionniste et si vous me demandez toutes les fioritures idiotes que le Web a mises à la mode (les curseurs qui bougent, les bruitages... c'est le genre de choses qui plaisent aux analphabètes des services de marketing, et c'est justement pour cela que je ne veux pas travailler avec des sociétés commerciales).

    Mais il peut aussi y avoir de bonnes raisons de n'avoir jamais terminé, si vous prenez le parti d'enrichir régulièrement votre site. Cependant, dans cette hypothèse, une ou deux journées de travail tous les mois peuvent être suffisantes pour rendre un site vivant.

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    Puis-je assurer la saisie des 250 pages de votre thèse?

    En fait, oui; comme beaucoup de journalistes, j'ai une vitesse de frappe à faire pâlir d'envie un gendarme surentraîné. Mais je facture ce type de travail, et plutôt cher, parce que ça m'ennuie profondément. Je vous recommande donc de saisir vos textes vous-même, ou de vous adresser à une claviste professionnelle, et de me livrer le résultat sur une disquette. En revanche, bien sûr, je peux de temps à autre assurer gratis pro Deo la saisie d'un petit ajout dicté au téléphone.

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    Est-ce que je travaille sur toute la France?

    J'aime mieux dire que je ne travaille que sur Paris intra muros - sauf si tous vos problèmes peuvent être réglés par courrier (électronique ou non).

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    Ai-je des moyens techniques particuliers?

    Non, à moins que vous ne fassiez rentrer un scanner dans cette catégorie. Je dispose en revanche (ce qui est plutôt rare) de tous les moyens intellectuels dont dispose un programmeur expérimenté.

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    Y aura-t-il de la publicité sur les pages publiées?

    La réponse à cette question dépendra du prestataire de services Internet qui hébergera vos pages. La plupart des prestataires imposent en effet la présence de petits bandeaux publicitaires dans les pages qu'ils hébergent, et les rares qui vous épargnent cette faute de goût en tirent argument pour refuser d'être gratuits. Ce sera à vous de décider en fonction de votre budget.

    Pour ma part, je ne vous imposerai pas d'inscrire sur vos pages un lien vers amarelia.com. Ce ne sera pas par modestie, mais simplement parce que, comme je tiens à ce que vous conserviez la possibilité de modifier vous-même vos pages, je ne serai pas intégralement responsable de leur présentation.

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    Est-ce qu'une page Web peut aider à trouver un emploi?

    Une publication sur le Web, par elle-même, n'a aucun écho. La page ne peut être lue que par quelqu'un qui en connaît l'adresse, ou qui en a trouvé l'adresse ailleurs: avec un moteur de recherche, sur une autre page Web, sur une contribution à un forum de discussion (généralement sous la signature de l'auteur d'un article), sur un article de journal ou une petite annonce, sur une carte de visite, une affiche, un CV. Dans ce cas, la page Web peut être très utile, en ceci qu'elle va vous permettre de développer considérablement un argumentaire que les autres supports rendent nécessairement succinct. Par exemple, le texte très bavard que vous lisez en ce moment peut être annoncé dans un journal par une petite annonce aussi réduite que: "Publiez sur le Web vos travaux universitaires. www.amarelia.com".

    L'adresse de votre site placée sur un CV peut donc faire beaucoup d'effet... à condition, évidemment, que le site soit d'une qualité acceptable.

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    Puis-je vous procurer les services d'un graphiste?

    Je ne sais pas si je peux vous le conseiller, car un graphiste fait nécessairement payer son travail à des tarifs décents (tandis que moi, je me contente de tarifs symboliques). Mais j'ai de très nombreux graphistes parmi mes relations... tout simplement parce que mon métier m'a amené à fréquenter des maquettistes de presse. Je peux vous mettre en contact si vous le souhaitez.

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    Suis-je patronné par une université, un ministère?

    Non. A dire vrai, j'aurais plutôt tendance à m'en réjouir: je n'ai à quémander l'imprimatur de personne, et aucun gratte-papier ne peut me demander de fournir le moindre formulaire administratif. Je conserve mes chansons et mon somme, et les ministères peuvent bien garder leurs cent écus.

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    Où peut-on voir des exemples de ce que je sais faire?

    Cette page-ci est évidemment un exemple de ce que je sais faire, mais je peux aussi vous en montrer d'autres dont la structure est moins classique. Je peux vous montrer mes pages consacrées à la langue quechua (attention: elles sont rédigées en espagnol!), mes deux sites de réalité virtuelle (en anglais et en français), mon diaporama de la ville de Leningrad... Et je vous fais grâce des nombreuses pages que je fais périodiquement pour montrer aux copains mes photos de vacances.

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    Comment faut-il s'y prendre pour travailler avec moi?

    Eh bien, pour commencer, le plus simple me semble être d'entrer en contact avec moi. Envoyez-moi un mail à jlancey@rocketmail.com, ou bien, à l'ancienne, appelez-moi au 01.30.41.03.12 (vous tomberez probablement sur mon répondeur, mais il vous prêtera une oreille attentive).

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