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Contact

La façon la plus simple de contacter l'auteur de ce jeu, Jean-Luc Ancey, est d'expédier un courrier électronique à triancey[at]gmail.com (évidemment, il faut remplacer [at] par @), mais une attention particulière sera accordée à ceux qui préféreront les bons vieux courriers en papier, les seuls, les vrais, avec une enveloppe et un timbre (mais si, ça marche encore). L'adresse postale de l'auteur est la suivante :

Jean-Luc Ancey
2, place Raimu
78120 Rambouillet
France

Et c'est qui, ce glandu ? Oh, pas quelqu'un d'intéressant, j'en ai peur. Mais si ça vous amuse, vous pouvez toujours jeter un coup d'oeil sur mon autoportrait sur Wikipédia (j'ai la flemme de l'adapter).

Rendez service à l'auteur du jeu

Le développement de Triancey représente plusieurs mois de travail étalés sur plusieurs années, et son auteur, c'est-à-dire, moi, Jean-Luc Ancey, aimerait bien en tirer un peu d'argent. Or, vous l'aurez remarqué, la version expérimentale du jeu, quoique parfaitement fonctionnelle, est totalement gratuite.

Aussi, je vais vous demander de faire pour moi quelque chose qui ne vous coûtera pas cher : envoyez le programme par mail à vos amis, jouez des parties au téléphone avec eux, et incitez-les à faire de même. Vous serez vraiment des amours si en plus vous envoyez un courrier électronique à triancey[at]gmail.com pour témoigner de l'intérêt du jeu. Je n'aurai pas forcément le temps de vous répondre, mais l'abondance de tels messages pourra m'aider à convaincre un investisseur.

Voici le genre de courriers que j'aimerais recevoir :

« Je m'appelle Jean Duglu et j'habite Saint-Gottverdammt sur-Himmelkreutz dans la riante contrée de Poldavie (Europe subaquatique). J'ai tout de suite aimé votre jeu et en ai expédié une copie par courrier électronique à ma bien-aimée lointaine, Gertrude Petitspieds, qui a émigré il y a cinq ans bien loin de chez moi, en Papouasie polonaise (côte ouest de l'Argentine). Le décalage horaire a fait qu'en appelant ma bien-aimée à deux heures de l'après-midi pour moi, je l'ai réveillée à quatre heures du matin pour elle, ce qui m'a d'abord fait craindre d'être un peu importun, mais nous avons eu tant de joie à nous entendre après tant de mois, et à jouer à votre jeu génial en babillant gaiement comme quand nous étions enfants, que nous avons joué douze parties d'affilée. Gertrude a gagné huit parties et moi seulement trois, mais de belle manière, et même notre match nul unique nous a comblés d'aise. J'ai certes quelque appréhension en pensant à la note téléphonique correspondant à ces trois heures de conversation transocéanique, mais notre amitié n'a pas de prix et votre jeu si subtil nous a permis d'en raviver l'intensité. Soyez mille fois remercié, cher monsieur Ancey, et puissent les bénédictions de Saint-Gottverdammt pleuvoir sur votre tête. »

Merci d'avance et à vos claviers.

Creative Commons License
Le texte et les images de cette page par Jean-Luc Ancey sont mis à disposition
selon les termes de la licence Creative Commons Paternité 2.0 France.