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« Je suis un ancien timide qui a abordé 1000 femmes en un an » (Sébastien Night, professeur de drague)

 

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Max Guazzini et le Stade Français, ou la résurrection d’un club mythique

 


Avec le Stade Français, Max Guazzini aura l'occasion de soulever cinq fois le bouclier de Brennus au Stade de France. (photo Stade.fr).

Créé en 1883, premier finaliste du championnat de France neuf ans plus tard (finale perdue contre le Racing Club de France), huit titres de champion de France entre 1893 et 1908, le Stade Français a un passé glorieux. Il est pourtant disparu de la première division à la fin des années 1940. Son retour au premier plan dans les années 1990 coïncide avec l’arrivée à sa tête de Max Guazzini en 1992. Il est alors directeur des programmes de la radio NRJ, qu’il a contribué à fonder.

1992-93 : Max Guazzini, passionné de rugby, rachète le Stade Français alors en 3e division (5e échelon national).

1993-94 : alors que le club est en 2e division, il débauche Jean-Baptiste Lafond, trois-quart international du Racing Club de France, 1er d’une longue liste.

1995-96 : le Stade fusionne avec le CASG, et accède de ce fait au groupe B (3e échelon national). Bernard Laporte (champion de France 1991 avec Bègles et futur sélectionneur de l’Equipe de France, de 1999 à 2007) arrive au club comme entraineur, ce qui correspond avec le début des bons résultats sportifs.
Champion de France groupe B, le club accède au groupe A2 (2e échelon national) à l’issue de la saison.

1996-97 : renforcé par l’arrivée des « Rapetous » Vincent Moscato, Serge Simon et Philippe Gimbert (champions de France 1991 avec Bègles), le Stade Français réalise une troisième montée successive, accède à l’élite (groupe A1).

1997-98 : Le Stade Français recrute des grands noms (Dominici, Dominguez, Juillet, Roumat ou encore Marc Lièvremont, actuel sélectionneur du XV de France) et devient champion de France dès sa 1ere saison dans l’élite. Il gagne son titre contre l’USA Perpignan lors de la 1e finale au Stade de France. C’est aussi l’apparition des éclairs sur le maillot.

Depuis le Stade Français a rajouté quatre titres de champion de France à son palmarès (2000, 2003, 2004, 2007). Le club s’est fendu de grands succès populaires, sous l’impulsion de son président, avec des places à 5 et 10 euros. Il remplit le Parc des Princes et le Stade de France à partir de 2005 (année des 1ers maillots roses). Le club a ainsi battu le record d’affluence d’un match de championnat de France (hors phases finales) tous sports confondus et mondial si on ne regarde que le rugby (79 502 spectateurs le 15 octobre 2005, plusieurs fois rebattu depuis).
Mais le désir de Max Guazzini, qui a démissionné de son poste de président du directoire de NRJ en juin 2004, reste de gagner la Coupe d’Europe. Après deux finales perdues en 2001 (au Parc des Princes) et en 2005, on peut penser que l’infatigable président ne s’arrêtera pas avant de l’avoir gagné.

Le Fléo

     

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200 000

calendriers: l'édition 2008 des « Dieux du Stade », plus osée que les précédentes s'est vendue encore mieux